Une faucheuse-lieuse tirée par vaches.

 L'association « Les blés dor » qui regroupe des habitants de Loudet et du Cuing vous propose une plongée dans un passé pas si lointain. Le dimanche 5 août, elle organise une journée moissons et battage à l'ancienne. C'est une rétrospective sur 100 ans de modernisation du travail de récolte des céréales.

 Le matin, dès 9h30, les faucheurs entreront en action, suivis par une faucheuse à traction animale, avant de voir arriver le premier tracteur tirant une faucheuse-javeleuse. Vous pourrez également voir fonctionner les premières moissoneuses-batteuses, d'abord tractées (Class 1947), puis autonomes (Soméca 1964).

 À 12h30, vous pourrez déguster un repas à l'ancienne, copieux et savoureux (15 euros, inscriptions auprès d'Alain Fages 05.61.89.58.34 ou d'André Andrieu 05.61.88.95.98). L'après-midi, à partir de 15h30, vous assisterez au dépiquage avec une batteuse mue par courroie. L'énergie sera ici dispensée par un tracteur des années cinquante, mais elle pourrait tout aussi bien provenir d'une machine à vapeur.

 En fin de journée, pour se reposer du dur labeur, les Copains d'abord donneront un récital de chansons traditionnelles pyrénéennes, et de variétés françaises, vers 17h. Diverses animations sont prévues dans le cadre de cette manifestation : expositions de matériel agricoles anciens, matériels miniatures et vielles voitures, travail d'un forgeron, manège gratuit pour les enfants. Cette journée peut se passer en famille, les anciens retrouvant leurs gestes d'antan, les plus jeunes découvrant l'évolution des matériels. L'entrée générale est de 5 euros pour tous à partir de 10 ans.

Le réseau en cours de finition (juillet 2007.

 L’A.C.R.M. (Amicale Commingeoise du Rail Miniature) a été créée en novembre 2003, par M. Oth, passionné de trains miniatures, et un de ses amis, féru d’électricité et d’électronique. Après avoir été hébergée un temps dans une pièce de la salle des fêtes de St-Médard, l’association est maintenant domiciliée au lotissement Bellevue, à Saux-Pomarède.

Son objet est de concevoir, construire et exploiter un réseau ferré miniature. Celui-ci représente un E très allongé. Dans la branche supérieure, se trouve une zone industrielle, tandis que dans la barre médiane se loge le dépôt et ses services. Enfin, dans la partie inférieure, la gare de passage dessert la ville. Le corps vertical de la lettre irrigue les différents secteurs.

L’ensemble est composé de modules de 1.25 m sur 0.60 m, et comporte deux voies principales (une par sens), et de nombreuses voies de débords (ou de service). Le parc moteur est en majorité reproductions de locomotives diesels, la période représentée se situant dans les années 1960 à 1980.

Si vous voulez apprendre à construire des maquettes, monter un circuit ou tout simplement faire rouler vos machines, vous êtes le ou la bienvenu(e) tous les mercredis et jeudis après-midi, de 14 h à 18 h, et un samedi sur deux (mêmes heures).

Aujourd'hui, l'ACRM est dans la phase terminale de la construction de ce réseau ferroviaire en HO (1/87ème). Elle se propose, dès la rentrée de septembre, de procéder à des samedis après-midi « portes ouvertes », afin de vous permettre de le découvrir, et d'assister, toutes les heures, à des démonstrations de gestion de la circulation des trains et de manoeuvres en gare. Nous vous ferons savoir par un prochain communiqué les dates exactes de cet événement, mais dès à présent retenez bien que vous pourrez, l'espace d'un après-midi, vous plonger dans l'univers du train miniature dans tous ses aspects (circuits de voies, maquettes, matériel roulant, gestion du réseau...). Vous pouvez contacter l'amicale tous les jours au 05 61 89 24 03, vous serez toujours les bienvenus. En cas d'absence, n'hésitez pas à laisser vos coordonnées sur le répondeur, le bureau vous rapellera sans faute.

Sophie Lodvitz lors de son concert à Eauze, en avril dernier.

 Il y a quelques temps déjà, Sandrine Lodvitz donnait le jour à une belle petite fille qu'elle prénomma Sophie. Cette dernière ne savait pas sitôt parler, qu'elle savait déjà chanter. Cela l'a tout naturellement conduite à participer à des concours de chant.

 Sur les traces de Chimène Badi, elle gagne à Agen en février 2006 avec la chanson « Ne me quitte pas  » de Jacques Brel. En mai 2006, à Toulouse, avec « Encore une nuit » de Marie Mai, elle décroche son ticket pour représenter Midi-Pyrénées aux trophées de France-étoiles de la chanson, en novembre prochain, à Paris. Et en décembre dernier elle gagne à Muret l'enregistrement d'une maquette au studio Graal.

Mais non contente d'être une chanteuse à l'avenir prometteur, Sophie est une jeune fille au grand coeur. Elle participe aux concerts organisés au bénéfice de l'ASOR, car s'occuper d'orphelins c'est « prendre un enfant par la main pour l'emmener vers demain », comme le chante si bien Yves Duteil.

 Révélée pour la première fois le 9 juillet 2005 au Latino Bar, elle y revient comme en pélerinage ce samedi 21 à 21h, pour notre plus grand bonheur. Venez l'écouter dans un répertoire essentiellement français, allant d'Edith Piaf à Patricia Kass en passant par Céline Dion, Michel Sardou, Jean-Jacques Goldman et bien d'autres. Rendez-vous au Latino-Bar, 13 avenue de Boulogne pour passer une agréable soirée toute en chansons que vous reprendrez en choeur !

Un torrent qui nous emporte...

 Durant tout l'été, à la chapelle Saint-Jacques, Pauline Fondevilla et Fleur Noguera nous proposent dessins et muraux.

 Sur la cimaise centrale, Fleur a dessiné un paysage. De la caverne dévale un torrent qui nous emporte au delà du tableau. Sur la rive droite, Pauline nous attend, cigarette à la main, nous enveloppe dans les volutes fantasques de sa fumée. Elle se repand et on la retrouve promeneuse solitaire sur la rive gauche...

 Dans l'absidiole, on retrouve des dessins sur papier des deux artistes qui observent le monde et qui dessinent des univers qui, au prime abord, n'ont rien à faire ensemble.

 L'exposition « Youpi ! » est une invitation à une joute dessinatoire pour saisir l'impalpable. Cette exposition d'art contemporain est ouverte jusqu'au 6 octobre, du mercredi au samedi, de 15h à 19h, et l'entrée est gratuite.

La future miss lors de son premier passage.

 En ce samedi 7 juillet, le service associations organisait une soirée centrée sur l'élection de Miss Saint-Gaudens, avec un programme riche et varié.

 Cela a commencé vers 16h avec un radio crochet animé par Tony de l'orchestre Instrumental Musette, ou chacun a pu venir prendre le micro pour interpréter sa chanson préférée et remporter des cadeaux.

 Un défilé de mode femmes, hommes, enfants et un show coiffures ont suivi, qui ont permis de montrer le savoir faire des commerçants de la ville. Après un succulent repas concocté par le traiteur Mazel de Charlas, on a pu rentrer dans le vif du sujet, à savoir l'élection de Miss etr Mister Saint-Gaudens.

 13 candidates et 6 postulants ont défilé devant un public nombreux et un jury composé de Philippe Perrot, Magalie Comminges, Danielle Larrieu, Nicole Mailhé, Françoise Peicheras et Dany Lauth. Après plusieurs passages des candidats dans diverses tenues (ville, sport, plage, soirée...), le jury a délibéré, et a décerné le titre de Miss à Lauriane accompagnée de Cindy et Sarah comme dauphines, et celui de Mister à Julien avec Edourd et Jean-Gabriel comme dauphins.

 Lauriane a 18 ans et est une étudiante qui vient d'avoir son bac et qui va préparer un BTS de traitements des matériaux. Elle habite Couladères près de Cazères-sur-Garonne, et s'est présentée à l'élection pour la magie des robes et le spectacle de toute beauté. Elle remercie les commerçants qui ont prêté de superbes vêtements et de beaux accessoires, sans oublier Geneviève et les membres du jury.

 Sans rien enlever aux mérites de Lauriane, est-il normal que Miss Saint-Gaudens n'habite pas la ville qu'elle va représenter pendant un an ?